Dernières actualités avec #Léa Salamé


Le Parisien
24-07-2025
- Politics
- Le Parisien
« Comme pour le 20 Heures, le mariage finira par arriver » : Léa Salamé se confie sur son couple avec Raphaël Glucksmann
Gros chamboulements à venir pour Léa Salamé . À 45 ans, la journaliste s'apprête à s'installer dans le fauteuil du journal télévisé de France 2. Une fonction dont elle n'osait rêver, confie-t-elle dans une interview fleuve accordée à Paris Match , d'autant qu'elle est en couple avec Raphaël Glucksmann, désormais engagé en politique. Mais elle se défend de tout conflit d'intérêts. « Quand je l'ai rencontré, il n'était pas un homme politique mais un intellectuel, rappelle-t-elle à nos confrères. Il a voulu se lancer en politique car l'Europe est le combat de sa vie. Il me l'a annoncé et je lui ai répondu : Oh ! Non ! Tu ne vas pas nous emmerder ! » Depuis, Léa Salamé et Raphaël Glucksmann mènent tous deux leur carrière. « On arrive à se mettre en retrait à tour de rôle, ajoute-t-elle. (…) On veut le bien l'un de l'autre ». Comme elle l'avait fait lors des élections européennes de 2019, elle se dit prête à se retirer du JT de 20 Heures si son compagnon se présentait à l'élection présidentielle de 2027. Ensemble depuis 2015, le couple forme avec Alexandre, né en 2011, et Gabriel, leur fils né en 2017 une famille recomposée. « Je ne suis pas la mère d'Alexandre, je suis sa belle-mère. Un rôle magnifique », explique-t-elle. Ajoutant : « La maternité n'a pas été une évidence pour moi. J'avais peur de ne pas savoir être maternelle et de ne pas pouvoir aller au bout de mes envies professionnelles. » Le mariage non plus était loin d'être une évidence pour la journaliste. « Le mariage ne m'a jamais fait rêver mais, comme pour le 20 Heures, il finira par arriver avec Raphaël. J'ai été récemment à plusieurs mariages, dont deux de vieux comme moi. Je trouve qu'il y a une joie et une sincérité particulières dans les mariages tardifs », conclut-elle.


Le Figaro
24-07-2025
- Entertainment
- Le Figaro
«Vivement la privatisation du service public» : le salaire de Léa Salamé au «20 Heures» de France 2 fait réagir
Ce mercredi 23 juillet, Libération consacre sa page portraits au nouveau visage du journal télévisé de la Deux, révélant non seulement sa rémunération, mais aussi la contre-proposition reçue par BFMTV. «Je n'ai pas grand-chose à cacher», révélé Léa Salamé interviewée par Libération à l'occasion d'un portrait. La journaliste présentera son premier «20 Heures» le lundi 25 août prochain sur France 2. Un grand pas pour l'animatrice de «Quelle époque !», loin d'être une évidence. Le 26 juin dernier, Anne-Sophie Lapix tirait sa révérence au JT de la Deux, évincée par la direction. En cause ? Les audiences plus faibles que celles de son concurrent, TF1, et la réticence des politiques à venir sur le plateau de la journaliste jugée sans concession. Pour lui succéder, Delphine Ernotte, présidente directrice générale de France Télévisions, avait d'abord proposé le poste à Caroline Roux . Mais celle-ci a préféré décliner pour se consacrer à son émission «C dans l'air». Publicité «Salamé a préféré le JT de France 2, qui alignait deux fois moins» La patronne s'est donc tournée vers la Franco libanaise. «Ernotte a cédé, persuadée qu'elle seule saurait relever l'audience du JT, dépassée par TF1», écrit Libération ce mercredi 23 juillet. La compagne de Raphaël Glucksmann reste donc sur le service public, malgré l'offre alléchante de BFMTV. Une décision que la journaliste de 45 ans explique : «Elle m'a aussi convaincue de rester au moment où l'audiovisuel public est attaqué. C'est un trésor national, là qu'il existe encore des moyens pour la culture, l'investigation…». À lire aussi «Je suis une Arabe catholique, en couple avec un Juif» : les confidences de Léa Salamé, peu avant son arrivée au 20h de France 2 Un choix qui en a étonné plus d'un, compte tenu du fait que celle-ci a déjà la charge du programme du samedi soir, «Quelle époque !». Mais il en faut plus pour effrayer Léa Salamé. Et l'appât du gain n'a visiblement pas été un argument. Toujours d'après le quotidien, «BFM lui proposait l'équivalent (de 'Quelle époque !', NDLR), chaque soir, pour un salaire proche de 50.000 euros par mois. Salamé a préféré le JT de France 2, qui alignait deux fois moins, à condition de garder son émission». 25.000 euros par mois donc pour présenter le JT sur le service public, et ce, sans compter le programme hebdomadaire du samedi soir. La nouvelle n'a pas manqué de faire réagir internautes et politiques, notamment le député du Rassemblement national Julien Odoul qui s'est insurgé sur son compte X : «Vivement la privatisation pour arrêter cette humiliation et cette spoliation !»


Le Figaro
23-07-2025
- Entertainment
- Le Figaro
«Je suis une Arabe catholique, en couple avec un Juif» : les confidences de Léa Salamé, peu avant son arrivée au 20h de France 2
La présentatrice star de France Télévisions a évoqué son enfance «accidentée», ses parents, son couple avec Raphaël Glucksmann dans une interview fleuve ce mercredi. Léa Salamé, nouvelle égérie du service public, s'est laissée aller ce mercredi 23 juillet à de nombreuses confidences auprès de nos confrères de Paris Match, abordant, évidemment, sa prochaine épreuve professionnelle: la présentation du journal télévisé de 20 heures de France 2. «Je n'y avais jamais rêvé car une partie de moi se disait que seule une vraie Française pourrait le présenter. Je suis une Arabe catholique, en couple avec un Juif. Je ne suis pas une blonde aux yeux clairs donc je me le suis sans doute interdit à moi-même», a confié la présentatrice, admettant avoir demandé à son prédécesseur, David Pujadas, milles et un conseil. «Tu vas devoir te limer les ongles, tout en restant toi-même», lui aurait-il soufflé. Elle n'a d'autant plus jamais cru en sa sélection à la tête du JT qu'elle a souvent eu «des complexes physiques, car on était dans le monde de Ken et Barbie et je n'étais pas Barbie ». Et d'évoquer son enfance, «accidentée». «J'ai eu un sentiment de revanche, avec un grand besoin de reconnaissance. J'ai connu des moments où je me disais: je leur montrerai et ils verront.» En cause, notamment, une famille qui connaît des hauts et des bas: «Mes parents sont aujourd'hui heureux ensemble, mais ils ont eu des moments d'éloignement. Ils m'ont montré qu'un couple passe par différentes phases et que l'amour peut revenir», poursuit-elle. Publicité Léa Salamé prendra les rênes du JT à la rentrée prochaine, possiblement dès le 25 août. Et a formulé un vœu : «Dans un pays fracturé, j'aimerais rassembler. Je ne veux pas casser les codes ou rajeunir le contenu : je veux de l'humain.» Avant d'ajouter : «J'aimerais rester moi-même : être chaleureuse».


Le Figaro
19-07-2025
- Entertainment
- Le Figaro
Léa Salamé, Nagui, Patrick Cohen: les cumulards de France Télévisions
Les trois animateurs-journalistes multiplient les présentations sur le service public. Ses détracteurs la surnomment « Léa Sale mémé », ce qui n'est pas gentil et rappelle aux plus anciens le « Mémé morte hier », dont on avait affublé l'aimable Aimée Mortimer (1901-1978), productrice de« L'École des vedettes » (1956-1963), où Line Renaud fut la marraine de Johnny Hallyday pour sa première télé. Bonne pioche pour les deux. Bonne pioche aussi pour Léa Salamé qui, ayant décroché le journal télévisé de France 2, y garde son émission « Quelle époque ! ». C'est une des triomphatrices du mercato 2025, tout comme Nagui (« Intervilles » + « N'oubliez pas les paroles » + « Taratata », sans oublier une quotidienne sur France Inter), Faustine Bollaert (« Ça commence aujourd'hui » + « Les Enfants de la télé » et une émission sur RTL) ou Patrick Cohen (« C à vous » + « Rembob'INA » et une chronique sur France Inter). On pourrait citer d'autres de ces amateurs de cadence infernale, mais la place nous est comptée. À lire aussi «La télé est en train de crever par conservatisme» : l'offensive de France Télévisions pour étendre son audience à la rentrée Publicité Pourquoi ces cumuls ? Déficitaire, la télévision publique obligerait-elle ses enfants à cachetonner, comme des artistes courant de cabaret en cabaret ? La raison est plutôt au manque de flair et d'audace du directeur des antennes et des programmes, Stéphane Sitbon-Gomez, si vieux pour son âge. Incapable de faire émerger de nouveaux talents, il préfère se replier sur les compétences déjà reconnues. Et voilà aussi pourquoi France Télé roupille.